La Maison de la Poésie

La Maison de la Poésie

Scène littéraire

Maison de la Poésie Paris

La Maison de la Poésie de Paris est une scène de lectures, de rencontres et de création dédiée à la voix des poètes et des écrivains. Elle s'adresse aussi bien à ceux qui ont toujours un livre en poche qu'à ceux qui découvriront le texte porté autrement, par la scène, la voix, la musique, l'image...

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BRUNO PELLEGRINO – DANS LA VILLE PROVISOIRE

BRUNO PELLEGRINO – DANS LA VILLE PROVISOIRE
Lecture par l’auteur - Rencontre animée par Sophie Joubert

Un jeune homme qui vient de terminer ses études part en mission pour une fondation, il doit trier les papiers d’une traductrice dont le domicile est resté inhabité depuis quelques mois. Il se rend dans la ville où cette dernière vivait : c’est une ville qui prend l’eau. Le roman décrit les recherches autour de cette femme absente et son travail, la vie quotidienne et les divagations du jeune homme flottant, cependant que l’eau recouvre tout, la ville et les mots. Du livre, il se dégage un mystère profond et délicat qui agit comme un envoûtement.

Avec le soutien de la Fondation Pro Helvetia.

À lire – Bruno Pellegrino, Dans la ville provisoire, éd. Zoé, 2021.

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MAXIME ACTIS – LES PAYSAGES AVALENT PRESQUE TOUT

MAXIME ACTIS – LES PAYSAGES AVALENT PRESQUE TOUT
Rencontre animée par Alain Nicolas

À lire l’un de ses textes publié dans une revue littéraire, sa mère dit à l’auteur que « ça doit être compliqué de vivre à force de regarder les choses précisément comme ça. » Mais c’est assurément un ravissement pour nous. Long poème composé de dix-neuf « chants », Les paysages avalent presque tout oscille entre un présent intranquille et des périples fondateurs à travers les Balkans. Des êtres qu’on perd jusqu’aux maisons désertées, en passant par cette femme qui ne reconnaît plus les siens : la poésie s’arme pour fixer tout ce qui file et que le temps engloutit. L’apparition d’un jeune poète saisissant.

À lire – Maxime Actis, Les paysages avalent presque tout, Flammarion Poésie, 2020.

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OLIVIER MONY – CEUX QUI N’AVAIENT PAS TROUVÉ PLACE

En dialogue avec Sarah Chiche

Bordeaux, années 60, un jeune homme à l’œil bleu acier change chaque semaine de voiture et de fille. Charmeur, avide de vitesse et de vie, Serge Elkoubi séduit les femmes et fascine les jeunes bourgeois avides de s’encanailler. Il navigue en eaux troubles, mystificateur, pilote de course, voleur de voitures, petit escroc. Après être passé par la case prison, il s’achète une nouvelle identité et s’envole vers d’autres continents où il sera toxicomane, dealer, fabricant de paréos ou gigolo à ses heures. Quête et enquête autour d’un être insaisissable pour tous, tant pour ses enfants qu’il a à peine connus, que pour Bianca qui fut son alter ego féminin, ou encore son meilleur ami et avocat qui le suivit toujours. Par la grâce d’une écriture aussi limpide que son sujet est trouble, Olivier Mony cherche ici à dire l’absence et à restituer le mentir-vrai d’un être.

À lire – Olivier Mony, Ceux qui n’avaient pas trouvé place, Grasset, 2021.

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Anne Mulpas - Abécéd’Air et de Feu - S de Soin - Partie 2

Aujourd’hui, l’Abécéd’Air est un Abécéd’Autres en compagnie de la psychiatre Géraldine Delcambre et c’est le S de Soin qu’elle a choisi.

Partie 2 - Imaginaire et relation

Née à Lesquin en 1979, Géraldine Delcambre est psychiatre de secteur, exerçant depuis toujours dans l’hôpital public. Après avoir travaillé pendant plusieurs années au centre Antonin Artaud animé par le Dr Patrick Chemla, elle a rejoint l’équipe du secteur d’Asnières-sur-Seine dirigé par le Dr Mathieu Bellahsen.

Merci au toujours fringant ami et comédien Jean-Baptiste Canivet nous administrant Winnicott et Canguilhem par les bons soins de Jean-Pierre Lehmann et de Cynthia Fleury, et nous prescrivant — tout en douceur bien sûr — une dose salutaire des Lois de Platon.

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Anne Mulpas - Abécéd’Air et de Feu - S de Soin - Partie 1

Aujourd’hui, l’Abécéd’Air est un Abécéd’Autres en compagnie de la psychiatre Géraldine Delcambre et c’est le S de Soin qu’elle a choisi.

Partie 1 - La crise et le collectif

Née à Lesquin en 1979, Géraldine Delcambre est psychiatre de secteur, exerçant depuis toujours dans l’hôpital public. Après avoir travaillé pendant plusieurs années au centre Antonin Artaud animé par le Dr Patrick Chemla, elle a rejoint l’équipe du secteur d’Asnières-sur-Seine dirigé par le Dr Mathieu Bellahsen.

Merci au fringant ami et comédien Jean-Baptiste Canivet extirpant Racine, Corneille, Hugo du petit matin, choyant Alejandra Pizarnik et Claude Ber,

Et quelques pensées vives pour Ginette Garcin et Jacques Monod pour La Noiraude de Fournier et Gay.