Rencontre animée par Nicolas Dutent
Le mercredi 17 avril 2019 à la Maison de la Poésie
La Maison de la Poésie de Paris est une scène de lectures, de rencontres et de création dédiée à la voix des poètes et des écrivains. Elle s'adresse aussi bien à ceux qui ont toujours un livre en poche qu'à ceux qui découvriront le texte porté autrement, par la scène, la voix, la musique, l'image...
Rencontre animée par Nicolas Dutent
Le mercredi 17 avril 2019 à la Maison de la Poésie
Rencontre s'étant déroulée le 20 mai 2019 à la Maison de la Poésie de Paris.
Jean-Luc d’Asciano
Souviens-toi des monstres ed. Aux forges de Vulcain
Lecture : David Sidibé
Musique : Jean-Pierre Petit & David Neerman
Rencontre animée par Sylvie Tanette
Rencontre qui s'étant déroulée le 9 avril 2019 à la Maison de la Poésie de Paris et animée par Alexandre Fillon - Interprète : Marguerite Capelle
Dans le Londres de l’après-guerre, deux adolescents, Nathanael et Rachel, sont confiés par leurs parents à de mystérieux individus. L’un d’eux, surnommé “ Le Papillon de Nuit ”, va se charger de leur éducation et les entraîner progressivement dans un monde interlope, aux marges de la légalité. Mais ces gens qui les initient et les protègent sont-ils vraiment ceux qu’ils prétendent être ? Bien des années passeront avant que Nathanael fasse toute la lumière sur son enfance, et comprenne ce qui s’est vraiment passé. Avec ses zones obscures, ses épisodes féériques et ses péripéties dignes d’un roman noir, Ombres sur la Tamise est à la fois un admirable roman de formation et une réflexion sur les troubles de l’Histoire.
Michael Ondaatje est né à Ceylan (Sri Lanka) en 1943 et vit à présent au Canada.
Son roman Le Patient anglais a reçu le Booker Prize et Le Fantôme d’Anil le prix Médicis étranger. Parallèlement à son travail de romancier, Michael Ondaatje poursuit une œuvre poétique exigeante. Dans Écrits à la main, il propose une sorte d'autoportrait du Sri Lanka.
À lire - Michael Ondaatje, Ombres sur la Tamise, trad. de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné, L’Olivier, 2019. Écrits à la main (édition bilingue), Points, 2019.
Rencontre ayant eu lieu le mercredi 3 avril à 19h à la Maison de la Poésie de Paris.
Animée par Julien Bisson - Interprète : Marguerite Capelle
Né en 1940, Russell Banks, est sans conteste l’un des écrivains majeurs de sa génération. Son oeuvre très abondante s'inscrit dans la tradition du grand roman américain. Citons par exemple De beaux lendemains, Continents à la dérive, Affliction, American darling… Dans le sillage de Melville, Mark Twain ou encore Kerouac, Russell Banks met en scène des personnages issus de l'Amérique profonde, survivant à force de combines et de petits boulots. Son dernier ouvrage, Voyager, est un captivant recueil de récits mais aussi un véritable livre de vie. Russell Banks y invite son lecteur à l’accompagner dans les plus mémorables de ses voyages. Entretien avec Fidel Castro à Cuba, retrouvailles “hippies” à Chapel Hill vingt ans après, expériences diversement radicales, fugue à Édimbourg pour épouser en secret sa quatrième femme, autant d’étapes formatrices au fil desquelles l’écrivain interroge sa relation au monde.
En partenariat avec la revue America.
À lire - Russell Banks, Voyager, Actes Sud, 2017.
Captation réalisée le mardi 12 février à la Maison de la Poésie.
André Aciman est né en Egypte en 1951 et a vécu en Italie, avant de s’installer à New York où il vit et travaille encore aujourd’hui. Spécialiste de Proust et grand connaisseur de la littérature française, il enseigne la littérature comparée à la City University de New York. Il est l’auteur de « Appelle-moi par ton nom », succès planétaire porté par l’adaptation cinématographique « Call me by your name » réalisée par Luca Guadagnino qui fut récompensée aux Oscars. Les variations sentimentales est le deuxième roman d’André Aciman traduit en France. De Giovanni à Maud, en passant par Manfred et Heidi, le héros de cette saga sensuelle suit la trajectoire fluide et imprévisible de ses amours. Entre l’Italie et New York, Paul se fait le chroniqueur minutieux du désir qui naît, s’étiole puis s’éteint, ainsi que de nos rêves avortés.