La Maison de la Poésie

La Maison de la Poésie

Scène littéraire

Maison de la Poésie Paris

La Maison de la Poésie de Paris est une scène de lectures, de rencontres et de création dédiée à la voix des poètes et des écrivains. Elle s'adresse aussi bien à ceux qui ont toujours un livre en poche qu'à ceux qui découvriront le texte porté autrement, par la scène, la voix, la musique, l'image...

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[sous mes yeux – Résidence In Situ // Le poème du futur

[sous mes yeux – Résidence In Situ // Le poème du futur

Ce serait quoi le poème du futur est un poème-polyphonique qui dialogue avec la poétesse Sophie Coiffier. Il a été créé par la classe de 6e3 du collège Robert Doisneau à Clichy-sous-Bois, en compagnie de la poétesse Anne Mulpas et de la monteuse son Rym Debbarh-Mounir — dans le cadre du programme In Situ, résidences d’artistes en collège.

Merci aux jeunes auteurs et autrices, leur enthousiasme inébranlable, merci à leur enseignante Laetitia Fiacchetti, pour le cheminement dans un présent plus que chargé d’émotions contradictoires.

Enfin, merci à la Maison de la Poésie de Paris et au Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis qui soutiennent, accompagnent le mouvement, la tentative.

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[sous mes yeux – Résidence numérique // La fin du monde

[sous mes yeux – Résidence numérique // La fin du monde

L’œuvre qui suit est un poème-polyphonique réalisé avec la classe de 3e4 du collège Montgolfier – Paris 3e. Elle est inspirée par Le dernier de jour de la fin du monde du poète polonais Czeslaw Milosz sous fond de Matrix, le cyberfilm culte des sœurs Waschowski.
On y trouvera des bouts de désastre collectif, des fragments d’espoir et de combat.
Et des éclats d’humour, aigus et chaleureux.

Ce projet a été imaginé par la poète Anne Mulpas, accompagnée de la monteuse son Rym Debbarh-Mounir dans le cadre d’une Résidence numérique / L’Art pour Grandir-Ville de Paris.

Merci aux jeunes auteurs et autrices, à leur enseignant Thomas Boudie pour cette joyeuse apocalypse
ainsi qu’à la Maison de laPoésie de Paris et la DASCO qui accompagnent et soutiennent cette belle aventure.

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[sous mes yeux – Résidence Numérique // L’assignation

[sous mes yeux – Résidence Numérique // L’assignation

L’œuvre qui suit est poème-documentaire réalisé avec la classe de 5e2 du collège Montgolfier – Paris 3e, à partir du récit de la romancière Tania de Montaigne, L’assignation, paru aux éditions Grasset en 2019.
Il y est question de la place qu’on nous impose, des cases où l’on nous enferme — et donc de regard et de jugement.

Le projet a été imaginé par la poète Anne Mulpas, accompagnée de la monteuse son Rym Debbarh-Mounir dans le cadre d’une Résidence numérique / L’Art pour Grandir-Ville de Paris

Merci aux jeunes auteurs et autrices, à leur enseignant Thomas Boudie pour cette vaillante parole
ainsi qu’à la Maison de la Poésie de Paris et la DASCO qui accompagnent et soutiennent cette belle aventure.

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[sous mes yeux – Résidence In Situ // Je sais que tu lis ce poème

[sous mes yeux – Résidence In Situ // Je sais que tu lis ce poème

L’œuvre qui suit « je sais que tu lis ce poème » est un maillage de textes d’élèves de la 5e7 du collège Robert Doisneau à Clichy-sous-Bois autour de l’œuvre Paroles d’un monde difficile de la poétesse américaine Adrienne Rich.

C’est le premier fragment sonore de la résidence d’auteur In situ d’Anne Mulpas, accompagnée de la monteuse son Rym Debbarh-Mounir.

Merci aux jeunes auteurs et autrices, à leur enseignante Mariama Barthes et à tous les adultes qui ont prêté leurs voix à ce poème polyphonique.

Enfin, bien évidemment merci au Département de Seine-Saint-Denis et à la Maison de la Poésie de Paris qui accompagnent et soutiennent cette résidence d’auteur.

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SYLVAIN TESSON - UN ÉTÉ AVEC HOMÈRE

Rencontre animée par Sophie Joubert

L’Iliade est le récit de la guerre de Troie. L’Odyssée raconte le retour d’Ulysse en son royaume d’Ithaque. L’un décrit la guerre, l’autre la restauration de l’ordre. Tous deux dessinent les contours de la condition humaine. Ces textes sont peuplés de créatures hideuses, de magiciennes belles comme la mort, d’armées en déroute, d’amis intransigeants, d’épouses sacrificielles et de guerriers furieux. Les tempêtes se lèvent, les murailles s’écroulent, les dieux font l’amour, les reines sanglotent, les soldats sèchent leurs larmes sur des tuniques en sang, les hommes s’étripent et une scène tendre interrompt le massacre pour nous rappeler que les caresses arrêtent la vengeance. D’où viennent exactement ces chants, surgis des profondeurs, explosant dans l’éternité ? Et pourquoi conservent-ils à nos oreilles cette incomparable familiarité ? Comment expliquer qu’un récit de 2500 ans d’âge, résonne à nos oreilles avec un lustre neuf ? Sylvain Tesson nous dévoile son admiration contagieuse pour Homère et son œuvre.

À lire - Sylvain Tesson, Un été avec Homère, Les Equateurs, 2018.